Selon une étude Moneo Resto (et une simple observation depuis n’importe quelle terrasse), les Français consacrent en moyenne 52 minutes à leur pause déjeuner. Ni trop courte, ni trop longue. Juste de quoi souffler.
Il y a vingt ans ? 1h38. Autant dire qu’on ne mange plus, on se synchronise avec son Google Agenda.
Et dans cette nouvelle réalité, le quartier dans lequel on travaille devient décisif : est-ce qu’il y a des restos sympas ? Un parc ? Une boulangerie qui ne vend pas que des triangles sous plastique ?
Ici, même ceux qui viennent avec leur Tupperware hésitent. Car les options sont partout, variées, abordables. Du coup, le frichti maison recule, sauf pour les puristes de la courgette vapeur.
En vrac :
🍜 Santosha
🥗 Eat and Coffee
🍝 Amore Mio
🍕 Peppone
🍮 Le Cohé
Et pour les 17h qui s'éternisent : 🍷 Le decanteur
Les stats sont formelles : le salarié moyen va au restaurant 1 à 2 fois par semaine. Le reste du temps, il alterne entre :
On pourrait croire que c’est un moment banal. Une pause comme une autre. Pourtant, la façon dont on déjeune raconte énormément :
– Ceux qui mangent devant leur écran ? Hyper impliqués, peut-être un poil trop.
– Ceux qui sortent quoi qu’il arrive ? Priorisent leur équilibre (et savent où trouver un bon café).
Et si on y regarde de plus près, la pause midi à Pessac centre, c’est souvent l’occasion de faire bien plus que manger :
Ce n’est pas qu’une question de bouche. C’est une question d’équilibre, de rythme, de plaisir au travail. Et aujourd’hui, de plus en plus d’entreprises choisissent d’installer leurs bureaux dans des quartiers où la pause déjeuner est aussi un argument RH.
📍 À ce jeu-là, les bureaux à Pessac centre (comme ceux de La Ville Monda) se démarquent :
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